La valse des chiffres !
Aujourd’hui au réveil Christine Lagarde sourit… elle annonce fièrement une baisse des chômeurs, mais il a augmenté si l'on tient compte de celles ayant une activité réduite (+15.600 à 3,96 millions). Le nombre de demandeurs d'emploi à activité réduite augmente, ce qui inclut de plus en plus de travailleurs pauvres. Qui la plupart ne percevront pas le complément ASSEDIC, et se verront attribuer une baisse de leurs aides aux logements.
Arrêtons d’essayer de nous faire croire à une micro reprise économique durant ces mois de vacances et de remplacements estivales où nombres de jeunes (et moins jeunes) ont trouvés un job.
Ce n'est pas l'outil statistique qui est à pointer du doigt mais les critères.
Un chômeur non indemnisé n'est pas compté dans le paquet alors qu'il l'est lorsqu'il quitte pôle-emploi. Mais cela n'indique pas forcément qu'il a trouvé du travail, car aucune procédure sociale n'est prévue dans ce cas alors qu'une simple négligence dans le pointage mensuel peut être très facilement le signe d'un déclin social des intéressés... La précarité croissante est plus parlante sur le sujet de l'offre d'emploi que les statistiques du chômage.
Les radiations sont automatiques et fortement favorisées, une méthode souvent payante pour faire du chiffre. Bien entendu, on oublie vite de renouveler son inscription tous les mois quand on n'a rien à en attendre, sinon une base de donnée qui vaut ce qu'elle vaut et de toute façon accessible publiquement.
La relance n’existe pas et la crise a bon dos pour durci à l’embauche de plus en plus d’entreprises veulent « des chevaux à cinq pattes ». Bref arrêtons messieurs et mesdames du gouvernement de se payer la tête des français en essayant de nous faire croire que votre politique paie…
Aujourd’hui au réveil Christine Lagarde sourit… elle annonce fièrement une baisse des chômeurs, mais il a augmenté si l'on tient compte de celles ayant une activité réduite (+15.600 à 3,96 millions). Le nombre de demandeurs d'emploi à activité réduite augmente, ce qui inclut de plus en plus de travailleurs pauvres. Qui la plupart ne percevront pas le complément ASSEDIC, et se verront attribuer une baisse de leurs aides aux logements.
Arrêtons d’essayer de nous faire croire à une micro reprise économique durant ces mois de vacances et de remplacements estivales où nombres de jeunes (et moins jeunes) ont trouvés un job.
Ce n'est pas l'outil statistique qui est à pointer du doigt mais les critères.
Un chômeur non indemnisé n'est pas compté dans le paquet alors qu'il l'est lorsqu'il quitte pôle-emploi. Mais cela n'indique pas forcément qu'il a trouvé du travail, car aucune procédure sociale n'est prévue dans ce cas alors qu'une simple négligence dans le pointage mensuel peut être très facilement le signe d'un déclin social des intéressés... La précarité croissante est plus parlante sur le sujet de l'offre d'emploi que les statistiques du chômage.
Les radiations sont automatiques et fortement favorisées, une méthode souvent payante pour faire du chiffre. Bien entendu, on oublie vite de renouveler son inscription tous les mois quand on n'a rien à en attendre, sinon une base de donnée qui vaut ce qu'elle vaut et de toute façon accessible publiquement.
La relance n’existe pas et la crise a bon dos pour durci à l’embauche de plus en plus d’entreprises veulent « des chevaux à cinq pattes ». Bref arrêtons messieurs et mesdames du gouvernement de se payer la tête des français en essayant de nous faire croire que votre politique paie…