En France, dès 1890, les manifestants du 1er mai ont pris l'habitude de défiler en portant à la boutonnière un triangle rouge. Celui-ci symbolise la division de la journée en trois parties égales : travail, sommeil, loisirs.

 

Le triangle est quelques années plus tard remplacé par la fleur d'églantine. En 1907, à Paris, le muguet, symbole du printemps en Île-de-France, remplace cette dernière. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban rouge.

Le 23 avril 1919, le Sénat français ratifie la journée de huit heures et fait du 1er mai suivant, à titre exceptionnel, une journée chômée.

Les manifestations du 1er mai 1936 prennent une résonance particulière car elles surviennent deux jours avant le deuxième tour des élections législatives qui vont consacrer la victoire du Front populaire et porter à la tête du gouvernement français le leader socialiste Léon Blum.

C'est pendant l'occupation allemande, le 24 avril 1941, que le 1er mai est officiellement désigné comme la Fête du Travail et de la Concorde sociale et devient chômé. Cette mesure est destinée à rallier les ouvriers au régime de Vichy. Son initiative revient à René Belin. Il s'agit d'un ancien dirigeant de l'aile socialiste de la CGT (Confédération Générale du Travail) qui est devenu secrétaire d'État au Travail dans le gouvernement du maréchal Pétain.

À cette occasion, la radio officielle ne manque pas de préciser que le 1er mai coïncide avec la fête du saint patron du Maréchal, Saint Philippe (aujourd'hui, ce dernier est fêté le 3 mai) !

En avril 1947, la mesure est reprise par le gouvernement issu de la Libération qui fait du 1er mai un jour férié et payé... mais pas pour autant une fête légale. Autrement dit, le 1er mai n'est toujours pas désigné officiellement comme Fête du Travail. Cette appellation n'est que coutumière.....

Tous dans la rue ! 
 

Quelque part en Israel tu ne pourras pas souffler tes bougies...
Mais partout en France, nous continuons de relayer ta lutte, dans la rue, auprès de toutes les personnes susceptibles d'épouser ta libération immédiate...
7 ans de trop, que le gouvernement Israélien te garde de façon intolérable.
Ces années passent, et toi tu continues d'y croire,  ces années qu'on t'a volé pour un motif pittoresque. Et tu passes devant un tribunal militaire.. et l'enfer commence

Une jeunesse sacrifiée sur l'hôtel de l'injustice.

La patience est ta seule arme en attendant le jour  de ta libération.
Il est primordial de ne pas lâcher prise, croire en l'espoir c'est marcher vers le changement. 
Aucune personne ne mérite un tel traitement de faveur. Aucun etat sur le papier n'a le droit de se positionner au dessus du droit internationnal.

C'est pourquoi il ne faut pas abandonner les luttes symboliques, comme Salah et Marwan Barghoutti.

Emprionnés et alors ? Ne lâchons rien !

Quelque part sur la toile, Idees Rouges profite pour faire la promotion Web de ses meilleurs partenaires qui ont l'originalité de se pencher de façon continue et humoristique sur l'actualité, la vie de tous les jours, les luttes sociales de façon plus large.

Premier en date, Les Mutins de Pangée est une coopérative audiovisuelle et cinématographique de production, d’édition et de distribution, indépendante, artisanale et autogérée. Ce collectif de réalisateurs, producteurs, techniciens, programmateurs a une expérience atypique de la production et de la diffusion télévisuelle et cinématographique. Ses membres fondateurs ont notamment un long parcours dans les médias alternatifs (certains sont co-fondateurs de Zalea TV). Les Mutins de Pangée tienne la barre grâce au soutien direct d’autres « mutins-souscripteurs ». Ces soutiens s’expriment notamment par la commande des DVD disponibles sur leur site et dont les recettes conditionnent la réalisation d’autres films.

La plupart des productions des mutins de Pangée servent de support pour des projections publiques avec débats (Chomsky&Cie, Bernard, ni dieu ni chaussette, Désentubages Cathodiques, etc.... )..

Cette démarche d’éducation populaire et d’animation dépend essentiellement de l’écho que nos propositions rencontrent dans les réseaux associatifs, culturels...qui nous aident souvent à élargir la diffusion de nos films afin de contribuer modestement à éveiller les esprits et à transmettre la mémoire de l’Histoire populaire.

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