Mardi 27 juillet 2010 à 11:01

Il est rare et nécessaire de faire l'apologie d'un individu sur un blog à vocation service public, mais il serait stupide
de ne pas le faire.
Nicolas Maury est un jeune communiste de la ville d'Istre et je tiens à préciser que le copier coller de son article
a pour but de mettre au clair que malgré les différences entre Parti Communiste Français et le Mouvement des Jeunes Communistes de France.
Il arrive que parfois les décisions internes d'un  "PCF local" peuvent être contre-productif pour sa jeunesse souhaitant rejoindre ce dernier.

Je reste comme "vous", dans l'attente de réponses au "pourquoi" cette situation .





C'est à la manière d'un ex-voto que j'aborde cet article, article nostalgique d'une période perdue, nostalgique de bons moments passé. Aujourd'hui « du passé faisons table rase ». Si le monde Romain a attendu plus de 2000 ans avant de disparaître, l'humanité, elle, est toujours là. Il en sera de même pour le communisme


 
 
« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 

C'est officiel, je ne fais plus parti de la section d'Istres du Parti Communiste Français. Les événements qui ont conduit à l'exclusion politique du Mouvement des Jeunes Communistes m'ont ouvert les yeux. C'est dur de partir après avoir investi beaucoup pour cette section.

C'est en Septembre 2004 que je rejoins le PCF et la section d'Istres-Fos, cela après un long processus de formation personnel aux luttes sociales, au marxisme et au léninisme. Depuis ce temps beaucoup de choses ont été faite pour faire grandir l'image renouvelée et dynamique d'une section dans une ville dominée par la sociale-démocratie depuis 1977.

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
De mon militantisme je retiendrais quelques détails : les collages d'affiches durant toute une nuit jusqu'à l'aube, les diffusions de tracts au lycée, dans les entreprises, les boitages, les journaux, les embrouilles avec le NPA ... Mais ce que je retiens c'est l'attitude exceptionnelle de Jean Yves qui occupait le poste de secrétaire de section a l'époque. Si il y a une JC forte à Istres, une jeunesse istréenne réceptive aux idées du communisme c'est grâce à Jean Yves. Revenons en 2004-2005, alors que j'étais le seul adhérent de moins de 20 ans, très vite l'activité du parti va se tourner vers la jeunesse et très vite la place sera faite pour « les jeunes ». Il faudra attendre 2006 pour voir le retour de l'organisation politique de jeunesse du communisme en France, le MJCF. Ce dernier sera jusqu'à aujourd'hui le loyal partenaire du PCF et le bras armé du communisme : campagnes électorales, affichages, vente du muguet, fêtes du parti à Sulauze... Les temps ont changé.

De la campagne pour le NON à la constitution capitaliste et guerrière de l'Union Européenne, aux présidentielles, législatives, cantonales, européennes, régionales. Le MJCF était présent au côté du PCF d'Istres. Le MJCF a été aussi un acteur important dans les luttes des lycéens contre le sabordage de l'éducation nationale, au point de faire enrager de haine des élus UMP (cf La Provence). En face de la droite, il y avait jusqu'alors que les communistes ! Et je suis fier de mes camarades, de Joris, Simon, Flo, Emile, Jeff, Greg, Keyvan, Théo, Virginie, Vincent, Johan, Marie-Anne, Justine, Luc … et de toute cette joyeuse bande de jeunes communismes qui ne se sont pas résigné et qui se sont engagé en prenant leurs destins en main.

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
Il y a eu des hauts, il y a eu des bas, il y a eu des bons moments, des mauvais mais la fraternité existait a cette époque. Puis 2006, c'est aussi un cadre de vie qui se renouvelle, le siège du PCF à Istres (1 impasse Audier) était (comme il l'est a nouveau aujourd'hui) à l'abandon, peu de présence, pas de travaux, une décharge. Et de travaux vont être entrepris : réaménagement de la pièce du bas avec réparation des volets, shampooinage de la moquette, ménage régulier, réfection d'une pièce à l'étage, travaux de maçonnerie, replâtrage des murs, débouchage des canalisations, restauration des archives... Tout cela certains « caudillo » l'ont vite oublié. Ce siège était devenu un lieu de vie, une vrai maison des communistes.

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
Mais des couleuvres j'en ai avalé au nom de l'organisation, a quel prix ? De mon inexpérience de la vie politique istréenne, beaucoup s'en sont servi. Un regret ne pas avoir participé à la liste « Istres: Innovons à Gauche » en 2006. Je le redis la seule solution pour la gauche à Istres c'est une liste du PCF, Marcou et Martine pour qui j'ai beaucoup d'affection vous vous êtes trompés. Une satisfaction en mars 2008, la belle campagne de Jacky Chevalier sur Fos, même avec 3,3% il peut être fier d'avoir porté les couleurs du Parti après des années de soumission à la sociale-démocratie. Un écœurement, les municipales à Saint Mitre (la toute dernière) ou le candidat « divers gauche », actuel secrétaire de section, faisait distribuer des tracts du MoDem (parti capitaliste, réactionnaire, de droite, européeiste, atlantiste...) par des militants communistes venu de bon cœur aider a récupérer la ville perdue en 1989. La défaite aura au moins un intérêt : celui de l'honneur communisme restauré. Si Istres est un véritable triangle des Bermudes en politique, je suis content de m'en être extirpé avec mon honneur sauf, je suis libre de mes pas, de mes dires.

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
Et puis aujourd'hui c'est le summum du risible, c'est à l'image d'un sabordage d'un navire en haute mer. C'est une énorme déception, un immense gâchis. Depuis la séparation entre Istres et Fos, la section du PCF Istres c'est engluée dans ses contradictions, dans son mutisme. Loin d'être capable de tirer son bilan, de mettre en avant une critique de ses actions constructive elle a préférer la rupture.

 
Depuis le 34ème congrès, notre section avait franchit un cap historique dans sa majorité politique, elle avait, de manière démocratique, fait le choix de s'affranchir des contradictions de notre direction nationale et fait le choix de contribuer au renforcement du mouvement communiste, dans son nombre et dans ses idées.

Lors de cette conférence de section nous avions fait des choix politiques importants, aujourd'hui ignoré par la volonté de l'actuelle direction de la section et de son secrétaire par intérim puisque non élu par les adhérents mais coopté par les membres du bureaux exécutif de la section.

Depuis cette conférence de section, la démocratie, cœur du communisme, a été bafoué, étouffée. De nombreux choix politiques ont ainsi, alors qu'ils ont été voté par les adhérents, été « oubliés » pour ne pas contrarier les intérêts de certains camarades. Ainsi le coup de force antidémocratique de mars 2008 est devenu permanent.

Que dire de la disparition des demandes d'adhésions de deux camarades issues de la JC, voilà bientôt plusieurs mois que le Fédération n'a toujours rien reçu ? Oublie ? Volonté politique ?

La démocratie doit être au cœur de notre mode de fonctionnement, cette dernière est la clé de la crédibilité de notre organisation. Les jeunesses Communistes ont fait le choix de mettre la démocratie en avant dans le cadre du centralisme démocratique, elles parlent d'une voix. Le Parti doit suivre cet exemple ! Mais a Istres c'est celui qui gueule le plus ou qui tire les ficelles qui dirigent et les autres doivent suivre !

Depuis l'éviction de la cellule de Fos sur Mer et du « très gênant » Jack Chevalier, notre section a reculé, c'est effondrée politiquement et est aujourd'hui incapable de mener a bien une initiative simple comme une diffusion massive de tracts. La direction politique de la section fonctionne aujourd'hui autour de 3-4 personnes sur un bureau de 12 membres. Le secrétaire est incapable d'assumer ses responsabilité politiques et la direction s'enferme dans un sectarisme incroyable vis a vis des communistes.

Le rétablissement des normes de vie du PCF est le meilleur atout contre les dérives internes et pour mettre fin aux procédés bureaucratiques et sectaires.

La lutte idéologique et politique est le seul moyen de mettre fin aux agissement des groupes opportunistes, sectaires et aux dérives bureaucratiques. Les éléments néfastes de ces groupes ont été d'utiliser la bourgeoisie et les gauchistes, sous couvert "d'ouverture", pour justifier la violation systématique des statuts par la mise à mort du centralisme démocratique, seul organisation capable de mener la lutte de masse. Il faut revenir a une organisation disciplinée et maintenir la démocratie la plus large sous le couvert de la critique et de l'autocritique.

Le centralisme démocratique exige le respect du principe de la direction collective du parti et la condamnation de toutes activités de groupes et de fractions.

pour ne pas affaiblir la rigueur et l'efficacité d'une autocritique sincère et salutaire, les remèdes sont « la réponse quotidienne aux préoccupations de la classe ouvrière et de tous les travailleurs et dans la possibilité pour chacun de nos adhérents de dire franchement son opinion sur la politique du parti dans le cadre régulier de nos organisations » (Maurice Thorez, 14 août 1931, « Pas de mannequins dans le parti »). « si même des camardes se trompent et commettent des erreurs opportunistes, nous ne voulons pas croire que la solution consiste à les frapper au lieu de les convaincre, à les écarter de tout travail au lieu de les gagner à la politique juste du parti et a toute son activité politique » (21 août 1931, "les bouches s'ouvrent"). « l'impulsion de la critique et de vie donnée par le comité central se transmet peu à peu à l'ensemble du parti. On approuve ou on désapprouve, c'est donc que l'on commence à discuter [...] Il s'agit de mettre fin aux procédés bureaucratiques, opportunistes et sectaires. » (23 septembre 1931, "jetons la pagaïe").

La direction politique est incapable de mener un travail de fond, a la fois par manque de volonté politique mais aussi par inexpérience. Les exemples sont nombreux:

-Ou en sommes nous dans la création du journal de section ? Au point zéro malgré les propositions de deux camarades
-Pourquoi les initiatives publiques du parti se soldent-elles par des échecs ? Loto, réunion retraites...
-Pourquoi lorsque 5000 tracts sont sortis, plus de 4000 restent sur les bras, pourquoi le matériel politique finit-il dans les conteneurs poubelles ?

La réponse est simple : l'absence d'organisation et l'absence de responsable a la tête de notre organisation. Le rôle d'un secrétaire de section, est simple : coordinateur des actions militantes, porte parole et animateurs des choix des communistes entre les conférences de section et les assemblées générales. Aujourd'hui rien de cela n'est fait.

L'absence d'organisation se voit aussi par l'incapacité d'un bureau politique a remplir son rôle, sur 12 membres élus 3-4 sièges et parmi ces camarades certains ont démissionné et d'autres se comportent comme des caudillos et apprentis dictateurs. Elle est belle notre section ! D'autant que des responsables de la Fédération du PCF ont jugé les intrigues du bureau tout bonnement ahurissantes …

Divisé pour mieux régner, voilà la bilan de notre organisation. Depuis l'éviction des camarades de Fos, la fraternité des communistes a laissé place a l'intrigue. Nous voilà revenu au temps des procès de Moscou.

Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

Pour certains, le MJCF n'est rien d'autre qu'une organisation militante, supplétives du PCF qui ne fait qu'obéir ou qui sert a faire le ménage, la vaisselle des vieux, le nettoyage des chiottes, le réaménagement de la salle de repro qui étaient en quelques semaine devenue un vide ordure ou les vieux jetaient leurs matos n'importe ou et de tas d'autres choses. Ils nous parlent de sécurité mais ils ont laissé le local a l'abandon, en ruine et c'est la JC, ses militants qui replâtraient les murs, refaisaient les fixations des volets, posaient une dalle sur une salle laissée à l'abandon, restauration des archives jetées a même un sol poussiéreux et humide. Toute les attaques contre la JC ne sont que PURE CALOMNIE et vil allégations.

Le MJCF c'est bien plus que cela, c'est l'organisation d'avant garde qui historiquement amène le PCF a des politiques de classe. Rappelons le rôle des JC dans les années 30 et comment ils vont amener le PCF au Front Populaire. Le MJCF n'a pas besoin du PCF pour vivre sur Istres, déjà il se finance seul et repose sur ses cotisations, des dons des militants communistes, il ne touche aucune subvention de la section du PCF, aucun pourcentage de la vente du muguet... Le MJCF est en capacité de produire son matériel politique seul, sans l'apport du PCF ou du MJCF national. A chaque fois que le Parti a eu besoin de nous, c'est PRESENT que nous avons répondu ! A chaque fois qu'on a voulu aborder des question relevant du domaine municipal ou pour demander l'expérience des élus sur certaines questions, nous avons eu droit a « surtout ne faite rien ! »

Le MJCF est l'exemple dont a besoin le PCF pour sortir la tête de l'eau : organisé, démocratique, structuré à la base en cellules/cercles, politiquement cohérent autour de valeurs des révolutionnaires réactualisé comme le socialisme du XXIème siècle. Par contre sans le MJCF le Parti Communiste d'Istres sera voué a une disparition rapide. Là est l'enjeu de la survie du PCF à Istres. D'autant plus qu'une section de 50 adhérents qui sort déjà d'une hémorragie longue ferait mieux de se poser des questions : en 2008 se sont 10 camarades qui sont partis, en 2009 les 17 fosséens sont partis et aujourd'hui c'est bien entre 10 et 12 cartes qui devraient partir. Que restera t-il ?

Diviser le PCF et le MJCF, est un risque que tentent de jouer des camarades qui refusent la critique, rappelons un instant que la Jeunesse Communiste est plus âgée que le PCF.

« Révolution Soupline » versus « Révolution jet d'eau »

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
Maintenant rassurez vous la JC continue, elle c'est même renforcée hier, des camarades reviennent en solidarité avec les « exclus ». Elle est désormais la seule organisation réellement communiste sur Istres a la fois idéologiquement, structurellement, et dans sa composition sociale : Ouvriers, apprentis, chômeurs, lycéens, étudiants, employés. L'image de la France qui lutte ! A l'opportunisme politique qui lui est créateur du vote FN, nous répondons : Unité, Révolution, Socialisme .

Pour ma part, je reste un communiste, un militant marxiste-léniniste encré dans les luttes syndicales, dans les entreprises, au côté des lycéens, des étudiants, des salariés, des ouvriers, des chômeurs, auprès des forces vives de la nation. Un communisme libéré de l'opportunisme et du réformisme voilà ce qui sera demain la norme pour construire, sur Istres, les lendemains qui chantent.

Bien à vous, amis, camarades

« Pas un pas en arrière » ou la conclusion de 6 ans de luttes communistes à Istres
 
 


De Nicolas Maury


 
 
 


Par terre-a-terre le Mercredi 28 juillet 2010 à 15:12
Il y a une chose que je ne comprends pas, le papier recyclable lui même porte à polémique ?
Sincèrement, si on ne m'avait pas offert ce livre, je ne l'aurais pas acheté.
Encore un photographe de plus qui se prend pour un scientifique et qui pense avoir réponse à tout, sans pour autant être prêt à changer son mode de vie, c'est ce qu'on peut effectivement ressentir, mais là où je ne suis pas ton raisonnement, c'est que les 365 gestes dont il parle ne sont justement pas perçu comme des contraintes ou des leçons.
Il pose les faits et apporte des solutions à petite échelle. Qu'il les suive lui-même ou pas, à vrai dire, fondamentalement, j'm'en fous, ça ne sera ni le premier ni le dernier, mais le concept est sympa.
Par terre-a-terre le Jeudi 29 juillet 2010 à 10:16
Oui, c'est vrai que l'Etat enlève beaucoup de possibilité d'action.
Personnellement, je ne crois pas que le gouvernement ou les entreprises se sentent réellement impliqués face aux différentes thématiques environnementales.
Les entreprises surfent sur la vague du greenwatching car la planète, le vert et le bio sont à la mode, on s'en rend encore plus compte quand on fait attention.
Mac do a par exemple changé son logo en vert au lieu de rouge sur certaines pubs. Hasard ? Sûrement pas !

Quant à notre gouvernement, le petit a bien compris que c'était toujours gagné de se prôner écolo avec son grenelle qui n'a encore rien prouvé, car c'est un terrain gagné des électeurs.
Mais finalement, on voit bien les limites de tout ça face au Climategate qui a fait rage juste avant la conférence de Copenhague, où le GIEC était accusé (à tord), d'avoir falsifié les données concernant le changement global, résultat, aucun pays ne s'est mis d'accord et chacun retourne à sa petite crise... ils ont bizarrement tous tirés profit de ce scandale... hasard ? Je ne pense pas non plus...

Il est vrai qu'à petite échelle, on n'aura jamais l'impact espéré si les entreprises ne se bougent pas réellement. Mais malheureusement, pour l'instant, c'est tout ce que nous avons !
Par Idee.Rouges le Dimanche 1er août 2010 à 14:46
C'est tout et c'est déjà pas mal.
Mais nous avons plus de ce que vous pensez :)
Les usines, l'industrie, l'agriculteur. C'est nous qui produisons, donc nous détenons. Donc nous pouvons le faire, question de temps. !
Par terre-a-terre le Vendredi 13 août 2010 à 12:19
(réponse à ton com sur le bio)

Encore une fois j'invite les gens à se renseigner sur les AMAPs (en faisant attention à choisir un agriculteur bio), car ça apporte une réelle solution budgétaire.

Ensuite, tu prends l'exemple de la famille smicarde où la bouffe n'est pas le sujet principal, de toute façon, dans un premier temps, avant de leur faire accepter le bio, il faut leur faire accepter le fait que la nourriture est très importante au niveau de la santé et du bien-être.

C'est vrai que cuisiner demande du temps, et le temps, on ne l'a pas toujours. Après, ça se passe aussi du côté des convictions. A quoi sommes-nous prêts pour être en phase avec nos convictions.
Bouffer des plats dégueux, c'est donner des tunes aux industriels qui n'en ont rien à foutre de ce qu'ils te font manger, mais qui ne s'intéresse qu'à la tune qu'ils se mettent dans les poches.
Manger des aliments bio qui viennent du coin, ça permet de faire vivre les agriculteurs de ta région ou de la région voisine.
Par http://www.whisperinggallery.nl le Lundi 16 mai 2016 à 10:17
Mais a Istres c'est celui qui gueule le plus ou qui tire les ficelles qui dirigent et les autres doivent suivre !
Par http://www.julie-grenier.fr le Samedi 9 juillet 2016 à 9:11
de proposer à ses habitants de partir en voyage à la mer ou en campagne pour ceux qui n'ont que bien peu les moyens de s'offrir un peu de bon temps.
 

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