Samedi 12 novembre 2011 à 17:28

 

Palestine, Yes we can !
 
             A la demande de reconnaissance de l'État palestinien par l'ONU, condition nécessaire à l'équilibre du dialogue, Obama compte opposer son veto et bloquer le processus de paix. Et alors que l'UNESCO, organisation internationale pour l'éducation et la culture, vient de reconnaître la Palestine comme un de ses membres, les États-Unis viennent de lui supprimer en punition 22% de son budget. La lâcheté des gouvernements français et américains face au colonialisme israélien compromet chaque jour un peu plus l'horizon d'un État palestinien viable, libre et souverain.
 
C'est dans ce contexte qu'hier, vendredi 11 novembre, au match de football France/ États-Unis, 60 Jeunes Communistes ont déployé une banderole "Palestine, Yes we can", ainsi que des drapeaux palestiniens! Ceux-ci ont rapidement été encerclés par le service d'ordre du stade qui leur a sommé de retirer leurs banderoles et leurs drapeaux avec une extrême violence ! Très vite, la police est arrivée, et au lieu d’intervenir pour calmer la situation, a laissé les jeunes militants se faire frapper avec acharnement par une quarantaine de stadiers, marchant même sur les supporters alentours ! Après cette évacuation violente les voila parqué par une police provocante et insultante, qui avec l'appui des CRS, a profité de l’action des stadiers pour pouvoir les emmener et les ficher dans un centre de rétention du 18e arrondissement!
 Voila à quelle répression des forces de l’ordre on se mesure quand on milite pour la Palestine libre et que l’on dénonce la complicité des Etats-Unis et de la France dans l’étouffement et le massacre du peuple palestinien ! Cette vérité dérange et l’Etat français le fait bien savoir: le service d’ordre privé du stade a forcément reçu des ordres venant de plus haut et se sont mis d’accord avec le service publique de la police et des CRS pour réprimer ces militants!
 Mais cette action pacifiste n’aura pas servi à rien, car se sont tous les supporters alentours qui ont repris en cœur « Palestine, yes we can ! », « Palestine vaincra, Palestine vivra ! » et qui ont levé le poing  voyant les Jeunes Communistes se faire embarquer dans le camion de CRS !
 
Alors les Jeunes Communistes ne plieront pas, le sentiment de répression ne fait qu’intensifier leur colère, et ne fait que multiplier le nombre de militant pour la cause palestinienne !
Le Mouvement des Jeunes Communistes dénonce ces actes de violences et de répressions, car ce n’est pas la première fois que l’on essaye d’intimider et de faire taire des militants pacifistes de la cause palestinienne !
Les Jeunes Communistes ne peuvent rester inactif face à l’oppression et à la violence quotidienne que vie le peuple palestinien ! Ils continueront à se battre pour la reconnaissance de l’Etat palestinien, pour que les droits de l’homme soient enfin respectés en Palestine, pour que les bourreaux et leurs complices occidentaux soient punis ! Les Jeunes Communistes ne se tairont pas et continuent à drainer tous les jours des militants pour la Palestine libre !
 
 
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Jeudi 3 novembre 2011 à 18:27


Victoire de l'hopital Henri Mondor !!


Après un an de lutte acharnée, la Coordination pour la défense du service de la chirurgir cardiaque de Mondor (Val de Marne), regroupant
professionnels et leur intersyndicale, CFDT-CGT-SUD santé, usagers avec plus de 100.000 pétitionnaires, élue-es par lesquels le Président du Conseil général, sénateur du Val de Marne, Christian Favier vient de remporter une belle victoire !
Les communistes du Val de marne fortement impliqués dans ce mouvement se félicitent de la décision du ministre de la santé, Xavier Bertrand (le vilain), de maintenir la chirrugie cardiaque à Mondor, et au delà de reconnaitre le potentiel de cet établissement important pour le sud-est Francilien.
Cette décision est un encouragement pour toutes celles et tous ceux qui luttent contre la stratégie suicidaire de la remise en cause des services publics de santé et pour la défense d'une santé multipoaire dans le grand Paris.
C'est un désaveu de la conception de la démocratie sanitaire portée par Claude Evin et Mireille Faugère.
Les communistes, heureux de cette victoire (-car on pourra s'en gosser longtemps-) rendue possible du fait du large rassemblement qui s'est organisé à cette occasion continueront à défendre l'offre de soin et la santé publique dans le département comme au niveau régional.
La campagne de la présidentielle et des législatives sera l'occasion de mettre ces questions au coeur des priorités dans notre combat pour chasser le Sarkozysme du pays et d'une grande politique de privatisation de la santé.

Rassemblé-es, usagers, profesionnel-les, militant-es politiques, syndicaux, associatifs, nous pouvons mettre fin à la loi HPST et aux ARS (agence régional de santé) qui marchandisent la santé !

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Le capitalisme a de l'avenir ?
Dans un monde où l'Humanité progresse c'est NON ! 


 

Vendredi 23 septembre 2011 à 23:15

La fête de l'Humanité, en images s'il vous plait !
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Et très prochainnement un article sur notre engagement vis à vis des présidentielles 2012, on va se faire -
cette Droite !

Lundi 7 mars 2011 à 0:03

L'Huma des jeunes, c'est parti!

 

 

Une centaine de nos jeunes correspondants et lecteurs prennent les commandes de la rédaction ce week-end du 5 et 6 mars pour publier leur Humanité lundi 7 mars.

Samedi 5 mars

10 heures. Les jeunes qui  font l'Humanité du 7 mars sont là! Ils sont une centaine à arriver au siège de L'Humanité. Bien décidés à prendre le contrôle du journal pour publier leur Huma ce lundi 7 mars, ils sont accueillis par Patrick Le Hyaric, directeur de L'Humanité, et Patrick Apel-Muller, directeur de la rédaction du quotidien. Pour voir toutes les photos de la réunion de 10 heures cliquez ici

 

 

 


10 heures 30.  Il est temps de se retrousser les manches. Chacun choisit la rubrique dans laquelle il souhaite écrire. Actualité foisonnante oblige, la rubrique International rencontre un joli succès. La politique et la Société ne sont pas en reste.

 

 

11 heures 30. Retour en réunion pour la grande conférence de rédaction. Chaque rubrique a désigné un porte-parole, son chef de rubrique. A charge pour celui-ci d'expliquer les sujets qui mériteraient un article dans l'édition de lundi et de définir son "traitement": portrait, entretien, reportage... Les arguments doivent être solides car les débats sont âpres pour savoir quel sujet obtiendra les pages d'ouverture du journal. International, politique, société? Les propositions affluent. Finalement, on vote à main levée. Et le gagnant est... Chut, vous découvrirez tout cela lundi, en ouvrant L'Humanité! L'autre morceau de bravoure est l'arbitrage du nombre de pages à attribuer à chacune des rubriques. "Vous n'allez tout de même pas faire comme le gouvernement en sabrant dans la Culture", s'enflamme une rédactrice en herbe. Là encore, il faut recourir au vote pour savoir qui de la culture ou de la société aura droit à une page supplémentaire. Pour voir toutes les photos de cette réunion cliquez ici

 

 

 

12 heures 45. Après ces rudes passes d'arme, une pause est la bienvenue.

 

14 heures. Patrick Apel-Muller, aidé de Véronique Blondeau, rédactrice en chef technique, reçoit les chefs de rubrique d'un jour. Il est temps de construire un "chemin de fer" dans lequel chaque sujet se verra attribuer une place et une longueur précises. Les autres rédacteurs sont déjà au travail.

15 heures 20. Fin de la réunion de "maquettage". Les chefs de rubrique annoncent à leurs jeunes et nouveaux confrères les bonnes et mauvaises nouvelles. Les bonnes? Tels sujets auront de la place. Les mauvaises? Il va falloir réduire les autres. Les arbitrages sont tombés. Certains n'ont pas attendus pour partir en reportage. Le  bruit des claviers d'ordinateurs remplace le son des discussions.

La rédaction des articles est bien entamée. Mais demain matin, dimanche, il faudra encore tout ajuster. L'actualité ne s'arrête pas. L'Humanité et ses jeunes correspondants non plus.  Pour voir les photos du travail pour différentes rubriques cliquez ici

 

Vendredi 4 mars

11 heures. Cyril Mokaiesh arrive à la rédaction. Le chanteur de Communiste,qui sort Du rouge et des passions, son deuxième album, le 25 avril prochain, est attendu de pied ferme par six de nos journalistes en herbe. Non seulement parce que L'Huma a écrit de lui: "Il y a du  souffle chez ce jeune chanteur dont l’univers plein de fougue et d’exaltation romantique façon Léo  Ferré nous parle du mal être d’aujourd’hui".  Pas seulement parce que son single Communiste commence à faire parler de lui. Mais surtout pour parler d'art, de la manière de conjuguer chanson et engagment... Après Jules Edouard Moustic et Marc, chanteur de La Canaille, les années précédentes, Cyril Mokaiesh se colle donc à ce grand entretien publié dans la double page centrale de notre édition spéciale de lundi 7 mars. C'est parti...

 

 

12 heures 45. Après une bonne heure et demie de questions réponses, Cyril Mokaiesh conclut: "C'est une super idée de donner la parole à nos jeunes. Surtout lorsque l'on voit ce qui se passe ailleurs, en Orient, où la jeunesse est à l'origine de beaucoup de mouvements. Ici, on devient vite vieux. Raison de plus pour vite lui donner la parole!" Ravi tout comme ses interviewers en herbe, il attend avec impatience le fruit de cette rencontre. Fin du prologue de cet Huma des jeunes. Samedi matin, vers 9 heures, ils seront une centaine à débarquer à la rédaction!

 

 .

Mardi 28 décembre 2010 à 18:40

Vous l'avez raté ??? 
Vous l'avez pas vu ??? 

Profitez en , c'est hébergé chez nos confrères Américains puisque nous sommes censurés chez Daylimotion (Fr).


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