Vendredi 19 février 2010 à 18:24
en faisant l'interview du Président sortant Christian Favier, et d'une jeune qui se présente pour la première fois sur les lites
du Front de Gauche, Mejdaline Mhiri.
Mr Christian Favier, Président du Conseil Général du Val de Marne
Melle Mejdaline Mhiri, Membre de la Coordination des Jeunes Communistes du Val de Marne.
Des critiques, des commentaires ?
N'hésitez pas à poser vos questions, il n'y a que des réponses constructives !
Mercredi 17 février 2010 à 20:31
En voici une première ébauche, car du 18 Fevrier au 18 Mars l'équipe Idees.Rouges se rend à l'ile de la Réunion pour suivre un passionnant travail journaliste qui vous sera dévoilé en exclusivité Mercredi Prochain !
Cette semaine dans les bacs politique ... L'UMP prépare les régionales et met du coup le débat sur l'identité nationale entre parenthèse maintenant que le sujet est devenu dangereusement casse-gueule tout en courant au secours des salarié de Philips ( le social c'est vendeur ). Le PS sonne le rappel des troupes en Languedoc-Roussilon en excluant les co-listiers de Georges Frêche. Le gouvernement accélère les projets de réforme des retraites tout en évitant de trop en parler. Enfin, l'action du président de la République est désavoué par 59 % des français, ( chiffres NouvelObs ).
Bref, ça sent les régionales à plein nez à trois semaines du premier tour. L'enjeu électoral déteint sur le paysage politique et fausse la donne de l'échiquier. Les régionales, élections parfois mineurs à l'échelle des présidentielles ou législatives pèsent quoi qu'il en soit sur la vie quotidienne de tout à chacun et une victoire de l'un ou l'autre front politique aura des incidences profondes sur le plan national. Alors que Martine Aubry rêve d'une " France tout en rose ", l'UMP, avec à sa tête un président de la République bien implanté dans des enjeux bien moins neutres que devrait être sa position, tente de limiter la casse et s'engouffre dans la moindre brèche laissée par les socialistes. La pâte de l'UMP dans l'affaire PS - Frêche en est bien la preuve, là où la droite n'a rien à faire dans le débat, on l'y trouve quand même.
Sur le plan social, rien ne va plus : logement, retraite, chômage j'en passe et des meilleurs, la Crise est sur toutes les lèvres mais elle a quand même bon dos.
Enfin bref, nous n'avons aucune bonnes nouvelles à nous mettre sous la dent sinon l'espoir parfois mince mais réel d'une percée des listes du Front de Gauche aux prochaines échéances électorales. Encore faudrait il que l'extrême droite grandissante ne soit pas l'échappatoire tout trouvé aux mécontents de la droite traditionnelle. Alors que les extrêmes sont souvent une alternative quand les partis modérés vacillent, espérons que l'opinion braquera à gauche plutôt qu'à droite.
Quand toute affaire qui rassure le peuple est prête à être mise en avant par les politiques tant qu'elle leur assure une médiatisation, des idées, voilà peut être ce qu'il manque à cette campagne électorale.
Mercredi 17 février 2010 à 14:00
Il faut noter dans un premier temps que le Coran ne mentionne en aucun cas ce genre de pratiques. Le problème de l'existence même de la burqa se pose alors, non pas seulement dans notre pays mais au cœur même de l'Islam.
Quelles sont ces raisons d'être? La volonté d'une masse masculine entendant prendre le dessus sur la femme? Le résultat d'un endoctrinement socio-religieux? Ou cette pratique s'intègre t elle au sein de croyances qui ce sont adaptées au monde d'aujourd'hui? L'existence de la burqa au sein de l'Islam semble cependant difficile à remettre en cause sans une grande connaissance de cette religion, de plus, qui sommes nous pour remettre en cause une institution qui nous est pour beaucoup étrangère? Nous pouvons critiquer, remettre en cause, comparer à notre mode de pensée occidentaux, mais l'ethnocentrisme nous guette lorsque nous nous attaquons à un tel sujet. Il est alors primordial de rester prudent, cependant, le sens là encore de la burqa au sein de notre pays se pose bel et bien, notamment au cœur des lieux publics.
La loi française reste claire quant au port des signes et tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, les collèges et lycées publics. Leur port est fermement interdit par une loi du gouvernement Raffarin en 2004. Cette loi est le résultat de la commission Stasi, groupe de réflexion réunit par Chirac sur l'application du principe de laïcité dans la République. Cette loi se heurta à beaucoup de critiques mais la Cour européenne des Droits de l'Homme a jugé en 2008 qu'elle n'était pas contraire à la liberté religieuse. Une certaine tolérance s'inscrit cependant au sein de nos établissements scolaires. Doit-on tolérer une croix chrétienne ou une étoile de David, relativement discrète, plus qu'un voile? Tolérance zéro ou acceptation entière des signes ostentatoires? La loi sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat suffirait à répondre à cette question, elle incarne à elle seule si il le faut les principes de laïcitéde notre pays.
Plus largement, le problème du port de la burqa se pose aussi dans les lieux publics. Les lieux publics, théâtre de la République doivent t ils accepter le port du voile? On pourrait avancer que le respect des coutumes du pays d'accueil imposerait ou du moins supposerait de s'en tenir à des signes plus discrets. Cependant, doit-on en conclure que le port de la croix est alors plus légitime ? Et si la religion chrétienne imposait une tenue spécifique, son port serait il plus acceptable dans les lieux publics que la burqa? L'essence même de la loi de 1905 ne nous garde t elle pas d'un tel discours?
Qui plus est il n'est mentionné nulle part dans le coran que la burqa est un vêtement "exclusivement" féminin ....
Pourquoi pas des burqa pour homme ?
Par Gauthier et moi même.
Lundi 15 février 2010 à 8:45
Une petite nouveauté de l'équipe Idees.Rouges s'est imposé,
Le billet Rouge du Lundi annoncera de façon plus structuré les évènements de la semaine à savoir
Mercredi, La burqa, suite et fin.
Vendredi, Vidéo autour du Front de Gauche :
=> Le Président du conseil Général du Val de Marne Christian Favier présentera son bilan et ses propositions
=> Mejdaline Mhiri , Jeune Candidate pour les Jeunes communistes du Val de Marne.
Dimanche, La Gironde en Action !
=> Présentation de la région Gironde et ouverture sur ses jeunes candidats pour le Front de Gauche !
Mardi 9 février 2010 à 23:28
Les jeunes ne sont pas condamnés à l'abstention, ils peuvent être une force de proposition pour améliorer leur cadre de vie !
L es 14 et 22 mars prochains, ils se rendront ou non aux urnes. Mais qu’en est-il des jeunes organisés collectivement ? Engagés et/ou syndiqués dans des mouvements progressistes, ils se battent pour une émancipation sociale et intellectuelle. C’est pourquoi la présence de jeunes sur les listes du Front de gauche aux élections régionales est capitale, car ils ont des propositions à faire pour améliorer leur cadre de vie dans tous les domaines.
Les organisations de jeunesse aux idéaux progressistes, allant du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF) à différentes organisations associatives et citoyennes, proposent dans de nombreuses régions d’avoir des candidat(e)s jeunes » sur leurs listes. « Nous avons de vraies alternatives à opposer au libéralisme étouffant toutes nos libertés », disent-ils en substance. Or, le pire ennemi d’une élection est l’abstentionnisme, comme on l’a vu aux européennes en 2009. Cela fait le jeu de la droite ou de formations qui, tout en se faisant l’écho de préoccupations écologiques, tendent à des alliances libérales et opportunistes.
Engagé ou non, le jeune citoyen a le droit et le devoir de voter. Car c’est un moyen d’expression démocratique pour sanctionner ceux qui bafouent l’expression populaire, comme en ont témoigné le référendum sur le traité européen ou la votation citoyenne pour l’avenir du service public de La Poste.
Cette génération, bien qu’inquiète de son avenir, ne souhaite pas verser dans la précarité sans perspective du RSA. Un plan de conversion de tous les emplois précaires en emplois stables et la suppression du travail dominical sont possibles. Il n’est plus admissible qu’un jeune choisisse aveuglément son orientation parce que son lycée ou sa fac aura été privatisé… Les jeunes désormais disent « non » et l’écrivent haut et fort à leur manière tout au long du journal l’Humanité d’aujourd’hui. Ils disent « non » aux licenciements de ces entreprises qui font des profits, comme à l’obligation faite aux femmes et aux hommes de « travailler plus pour gagner moins ». Ils veulent l’arrêt de la guerre en Afghanistan, la résolution du conflit israélo-palestinien, le retour de la démocratie au Honduras.
Au même titre que les jeunes Français, les jeunes sans papiers ont les mêmes aspirations à vouloir les mêmes droits. Déjà présents sur le sol français, ou désirant venir y étudier et y travailler, ils contribuent, de ce fait, à enrichir notre pays. Pourtant, les « patrouilles de la peur » du ministère de la honte ne se gênent pas pour atteindre leurs quotas. Ces jeunes ne méritent pas d’être expulsés. Régularisons les sans-papiers qui vivent et travaillent « ici ».
Ces vœux citoyens et humanistes ne sont pas utopiques. Tous ensemble, nous pouvons faire pression sur le gouvernement en place pour faire entendre nos propositions et nous opposer à toute dérive antidémocratique.
Gauthier.L.